Kaizoku-no-Yume on DeviantArthttps://www.deviantart.com/kaizoku-no-yume/art/MI-Fiche-personnage-Zola-519560680Kaizoku-no-Yume

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Kaizoku-no-Yume's avatar

+MI+ Fiche personnage: Zola

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Description

:iconmetropole-illumis:
[C] Zola for Kaizoku-no-Yume by PrinceOfRedroses


Profil


Lavendar Bullet  Nom: S. Zola Hodgkin
Lavendar Bullet  Pkmn: Nidoking
Nidoking est un des Pokémon les plus violent qui existent. Il enserre son ennemi avec sa queue dure comme de l'acier et lui broie la colonne vertébrale comme un biscuit sec. Sa force colossale lui permet de soulever un bus, et de le plier en deux. Ce terrible Pokémon est craint de tous et peu de gens osent défier un Nidoking sauvage.

Lavendar Bullet  Age: 34 ans
Lavendar Bullet  Taille: 1m98
Lavendar Bullet  Anniversaire: 11 novembre | Scorpion
Lavendar Bullet  Situation: Fiancé | En couple avec Haru depuis le 28/06 ♥
Lavendar Bullet  Enfants: Sensui et Benedict.
Lavendar Bullet  Seiyuu/Voix: Kamiya Hiroshi (Trafalgar Law)
Lavendar Bullet  Theme Song: Bohemian Rhapsody - Queen

Lavendar Bullet  Particularités: 
Arrow left Il possède le Palais Chaydeuvre, pas loin d'Illumis.
Arrow left Comme tout les médecins, personne ne peut le relire quand il écrit. Personne
Arrow left Il a un accent anglais et s'égare parfois à parler le langage, if you see what I mean.
Arrow left Il est bon danseur et guitariste, depuis ses années rock à Unys.
Arrow left C'est un tricheur né. Il a un talent fou pour faire tourner les gens en bourrique et gagner aux jeux de cartes et d'argent.
Arrow left Il peut sortir n'importe quoi des poches de sa blouse. Genre... vraiment n'importe quoi. D'apparence, sa blouse à l'air normal, mais en réalité, elle pèse deux tonnes.
Arrow left Contrairement à ce qu'on pourrait croire de cette brute, c'est un diablement bon masseur.

Lavendar Bullet  Originaire de: Kanto

Lavendar Bullet  Type | Résistances | Faiblesses: :iconpoisontypeplz: :icongroundtypeplz::iconelectrictypeplz: :iconpoisontypeplz: :iconbugtypeplz: :iconfightingtypeplz: :iconrocktypeplz: | :iconicetypeplz: :icongroundtypeplz: :iconpsychictypeplz: :iconwatertypeplz:
Lavendar Bullet  Level: Inconnu, mais surement trop élevé.
Lavendar Bullet  Attaques:
 :icongroundtypeplz: Seisme | :iconicetypeplz: Laser Glace |  :iconfightingtypeplz:  Mitra-poing |  :iconelectrictypeplz:  Tonnerre


Lavendar Bullet  Capacités Spéciales:
Arrow left Point Poison (Poison Point) : Si le pokémon adverse fait une attaque directe contre lui, il aura 30% de chances d'être empoisonné.
Arrow left Rivalité (Rivalry) : Ses attaques sont plus puissantes contre les adversaires masculins.
Arrow left Sans Limite (Sheer Force) : Frappe plus fort mais annule les effets cumulés.

salmon heart bulletsalmon heart bulletsalmon heart bullet  Aime:
Arrow left Surgir derrière les gens. C'est sa spécialité.
Arrow left Observer, faire des expériences et des tests sur les gens. Surtout quand ils ne s'en rendent pas compte.
Arrow left Les ossements. Il est passionné d'ostéopathie d'ailleurs.
Arrow left La musique et la littérature.
Arrow left Les pâtisseries orientales.
Arrow left La tisane et le thé en général.

gray heart bulletgray heart bulletgray heart bullet  Aime pas:
Arrow left Qu'on le cherche. C'est un pokemon agressif qui se met très vite en colère et il a horreur de se mettre en colère, ça fait peur aux patients et c'est mauvais pour sa tension artérielle.
Arrow left Les gens ennuyeux. Il aime ce qui attire sa curiosité, les spécimens rares...
Arrow left Rester inactif, ça l'agace.
Arrow left Les gens plus grand que lui, il se sent toujours menacé en leur présence.
Arrow left Que quelqu'un s'approche trop près de lui dans son dos.
Arrow left Le café.

Personnalité


Sebastian Michaelis (Obeys) [V1]   I ' m   G o i n g   S l i g h t l y   M a d   
Au premier abord, Zola est un médecin présentable, gentleman, poli, bien qu'un brin intimidant. Quand on le fréquente un peu, on réalise que derrière sa fausse modestie et ses airs courtois, Zola a un ego aussi gros que la région d'Unys. Il est affreusement sur de lui, égoïste, calculateur, arrogant, manipulateur et n’émet pas une seconde l'hypothèse qu'il peut un jour avoir tord. Il est très prétentieux et ne supporte pas que quelqu'un lui fasse de l'ombre. Il n'aspire pas forcement à être le centre du monde, mais à le dominer. Il aime tout contrôler et tout savoir. Il a horreur qu'on le contredise, ou pire, qu'on lui dise "non", ce qu'il le met très en colère. 

Et le principal problème de Zola, c'est ses tendances violentes. Malgré toutes les mesures de sécurité qu'il prend -ne pas manger, ne pas dormir, prise de sédatifs, etc- pour ne pas se laisser gagner par son instinct, quand il est en colère, son besoin d'être violent et la sensation de plaisir que frapper quelque chose -ou quelqu'un- lui procure sont souvent plus forts que sa volonté. Son pauvre esprit tordu et tourmenté se plait à observer la souffrance des autres, ce qui déclenche chez lui un intérêt particulièrement malsain pour la plupart de ses patients. Puisqu'il aime était au courant de tout, il ne se sent pas gêné de poser des questions particulièrement déplacé, ou d'insister quand quelqu'un essaie de lui cacher quelque chose. Il sait se montrer très persuasif pour obtenir ce qu'il veut...

 Yui (i want to be with you Papa and Mama) [V1]   U n d e r   P r e s s u r e 
Depuis l'enfance, Zola, ou plutôt Stanley, tel été son nom à l'époque, a toujours été plus faible que ses congénères. C'était un nidoran à la santé fragile, qui tombait facilement malade, et dont les blessures étaient longues à guérir. Victime du harcèlement moral de ses parents, de ses camarades de classe et des habitants de sa ville, couplé à son trouble identitaire, il est également devenu mentalement instable. Il a depuis longtemps perdu la notion du bien et du mal. Et en grandissant, devenant plus fort et plus féroce, il a développé un gros complexe de supériorité, ne faisant plus que ce qui lui chante et n'a que faire de ce que les autres pensent de son comportement. Bien qu'il n'aspirait pas à être foncièrement mauvais, cette fâcheuse manie et la haine qu'il nourrit pour le reste du monde l'ont rendu très maladroit avec les gens qui l'entoure, il peut se montrer blessant et prendre malgré lui un certain plaisir à être méchant ou à faire du mal. 

Zola souffre d'une terrible crise d'identité. Il ne sait pas qui il est, ni pourquoi il est là. Il n'aime pas regarder derrière lui, car il y a beaucoup de choses traumatisantes qui le bloque et l'empêche d'être comme les autres. Il est hanté par son passé au point de ne plus pouvoir en dormir la nuit ou se regarder dans un miroir. Il préfère se concentrer sur les quelques choses stables autour de lui, mais dès qu'il doit parler de lui ou de son passé, ou qu'on lui pose certaines questions, il n'est pas rare qu'il se mette en colère ou craque mentale, passant dans un espèce d'état d'hystérie. Il est complètement fou.

Komari and Rin (Don't go hug) [V9]   T o o   M u c h   L o v e   W i l l   K i l l   Y o u  
A ses yeux, les gens ne sont rien d'autres que des pions sur un échiquier, à quelques exception près... Entretenir une relation a toujours été très difficile pour lui, comme pour ses congénères, à cause de ses soucis caractériels. Il est très difficilement supportable, même lorsqu'il essaie de faire des efforts. Et pourtant, les rares personnes ayant réussi à passer au travers de la cuirasse empoisonné du Nidoking ont pu constater qu'il savait aussi se montrer attentionné... à sa manière. Sous ses apparences de grosse brute au cœur de glace, Zola sait aussi apprécié les gens et s'y attacher. Il devient d'ailleurs très possessif et jaloux lorsque l'on approche ses précieux "jouets". Il a beaucoup de mal à gérer son affection pour les gens, incapable de faire dans la demi-mesure, raison pour laquelle il peut aussi se montrer distant et cruel avec les personnes qu'il "aime".

Histoire


#032 Nidoran Male   I   s o m e t i m e s   w i s h   I ' d   n e v e r   b e e n   b o r n   a t   a l l 
La nature violente, brutale, et colérique des différentes évolutions de Nidoran n'est plus un secret pour personne. Et la famille Hodgkin ne dérogeait pas à la règle. Il y avait longtemps que plus aucun voisin ne vivait autour de leur maison dans ce coin de Kantō, effrayé et lassé de leur crises de nerfs et querelles de couple incessantes.
Monsieur et Madame Hodgkin avaient un jeune fils, nommé Stanley. Un fils dont ils se seraient bien passé, pour être honnête, et qu'ils avaient du mal à considérer comme tel. En effet, même s'il était un jeune Nidoran de sang pur, il avait une sainte horreur de la violence. Depuis les premières secondes, ses parents l'avaient su. Il n'avait pas les épaules pour devenir un fier Nidoking capable de terrasser son père. Et à vrai dire, ils avaient même espéré que grâce à cela, ils s'en débarrasseraient plus vite... Mais le bougre restait de sang pur, et s'en retrouvait du coup terriblement coriace, fermement raccrocher à sa misérable vie.

Stanley avaient beaucoup de soucis avec l'école. Pas parce qu'il était mauvais élève, au contraire, malgré sa situation il avaient déjà dix bonnes années d'avances sur les études. Mais il était rejeté par ses camarades et professeurs, effrayés à l'idée d'être empoisonné, car il avait déjà plusieurs fois envoyés en hospitalisation des enfants qui le battaient sans avoir à lever le petit doigt. Point poison... Une vrai malédiction, cette capacité. 
Mais les parents de Stanley s'en fichaient, et lui aussi d'ailleurs. Car à coté de ce qu'il vivait à la maison, l'école, c'était une partie de plaisir...

Lorsqu'il rentrait chez lui, Stanley pouvaient presque entendre son corps trembler d'appréhension alors qu'il rasait les murs de l'appartement en boitant. Et à chaque fois, elle le surprenait. Sa voix cinglante le forçait à s'immobiliser. Et à chaque fois pour les mêmes raisons futiles... Elle en venait à chercher la petite bête pour lui hurler dessus. Mais de toute manière, même si elle ne trouvait rien à redire, elle hurlait quand même. Il se prenait souvent le balais ou d'autres objets en plein sur le crâne, quand elle avait besoin de se défouler ou lorsqu'il faisaient des tâches de sang sur le sol en rentrant. Pourtant, il faisaient de son mieux en appuyant sur les plaies... mais ce n'était pas toujours suffisant. Sa maman ne l'aimait certainement pas, mais lui il l'aimait. Alors il supportait.
Alors il nettoyait le sol, avant de fuir dans sa chambre, la queue entre les jambes, se barricadant dans un placard en attendant l'heure fatidique où Papa rentrerait du travail...

A force de subir cette violence et cette solitude quotidienne, le faible Nidoran commença à développer un sévère trouble de la personnalité. Lorsqu'il était dans sa chambre, ou caché dans la cour de l'école, il parlait. Seul. Avec lui-même. Ou peut-être pas... ?

#032 Nidoran Male   B e e l z e b u b   h a s   a   d e v i l   p u t   a s i d e   f o r   m e  
Nombreux sont les enfants à combler leur ennui ou leur solitude par des "amis imaginaires". Pour le petit Stanley, les choses étaient un peu différentes... cet ami qu'il n'avait pas, c'était lui-même. Ou plutôt son autre lui-même. Il lui ressemblait comme deux gouttes d'eau et il avait toujours été là. Il s'appelait Zola, c'était d'ailleurs son deuxième prénom... Contrairement à Stanley, qui était plutôt passif, ne cherchant pas l'affrontement et la résolution de ses problèmes de front, Zola était un Nidoran qu'il s’efforçait d'enfermer en lui, semblable à ses parents, plus fort, plus violent, et surtout nourrissant une haine brûlante pour le monde entier....
Stanley avait très peur de Zola, et pourtant, lorsqu'il avait peur, c'était celui qui savait le mieux le consoler et le rassurer. Zola, lui, souhaitait protéger Stanley à tout prit, luttant pour prendre sa place et mettre une raclé à la planète entière pour se venger.
Les deux s'aimaient énormément, et étaient d'une harmonie parfaite, n'imaginant pas la vie l'un sans l'autre. Après tout, ils étaient comme une seule et même personne. Stanley Zola Hodgkin.
Plus tard, à l'âge Adulte, Zola mettra la main sur son acte de naissance, découvrant la terrible vérité sur son identité. Stanley et lui-même étaient des frères jumeaux... et l'un d'eux était mort-né. Décédé un 11 novembre: Zola Hodgkin.

#032 Nidoran Male   A n y w a y   t h e   w i n d   b l o w s   d o e s n ' t   r e a l l y   m a t t e r   t o   m e  
Chez les Hodgkins, il n'y avaient pas d'armoire à pharmacie. Car dans la famille des Nidoran, on estime que se soigner c'est pour les faibles. De même, avec leur réputation, ils pouvaient dire adieu à tous ce qui ressemble de près ou de loin à un centre pokémon... 
Alors Stanley a du trouver un moyen de se soigner, lui, le faible... Dès qu'il en avait l'occasion, il se faufilait dans les bibliothèques, ou se planquait près d'une fenêtre d'habitation en face de la télévision, et se renseignait. Même si c'était que quelques secondes, quelques brides de documentations, par-ci, par-là, c'était toujours bon à prendre. Qu'il puisse enfin se soigner par lui même.

Un jour, lors d'une de ces quêtes de documentation, Stanley à découvert un groupe d'adultes, savamment camouflé dans un recoin de de la ville, s'adonnant à un mystérieux jeu appelé Poker. Ce groupe de personnes se rassemblait toujours à la même heure à des dates précises, ce qui ne fut pas longtemps une énigme pour le jeune Nidoran, qui finit par s'infiltrer dans leur planque pour les observer en train de jouer.
Curieusement, lorsqu'il fut enfin démasquer, Stanley fut inviter à la table du groupe, composé uniquement de "phénomènes de foire" comme ils aimaient s'appeler. En peu de temps, Stanley prit goût au jeu, et en profita pour récupérer, non pas de l'argent, mais de quoi se composer sa propre armoire à pharmacie.

#032 Nidoran Male   J u s t   g o t   t o   g e t   r i g h t   o u t   of   h e r e
Si Stanley était attiré par la médecine pour son intérêt personnel, il avait une vrai passion; la musique. Enfin, passion... Il en savait autant en solfège qu'un Drattak en patinage artistique. Il n'avait pas accès à quoi que ce soit lui permettant d'en apprendre plus à ce sujet, et il était loin d'avoir de quoi s'acheter un instrument pour pratiquer en autodidacte. Et autant dire qu'il préférait s'enterrer vivant que de faire entrer de la musique chez lui... Autant choisir soi-même la façon dont on veut mourir.
Mais lors d'une partie de poker, Stanley remporta le baladeur cassette de l'un des autres joueurs. Celui-ci le lui céda bien volontiers en voyant les yeux ternes du Nidoran s'illuminer pour la première fois. ... Mais pas le moindre sourire, comme toujours.
Alors il rentra chez lui, et se terra dans son placard, tout fier, avec sa "boite à musique". Il y avait dedans une vielle cassette, dont l'étiquette était devenu illisible. Mais le son qui s'en échappé était divin, tellement que dès qu'il mettait ses écouteurs, Stanley ne sentait même plus la douleur de ses hématomes.

Un soir, il était tellement absorbé par sa musique, qu'il n'entendit pas son père entrer dans sa chambre. Le Nidoking, qui hurlait déjà depuis de longues minutes, défonça la porte du placard, et découvrit Stanley, les yeux écarquillés, serrant le baladeur dans ses mains. Fou de rage, il attrapa son bon à rien de gosse et son stupide accessoire, et en fit de la garniture pour profiteroles.
Si Stanley s'en sortit de justesse, le baladeur, lui, fut réduit en poussière...

Anéantit, le Nidoran appela sa mère à l'aide. Mais celle-ci ne lui adressa qu'un regard furieux avant de l'enfermer dans sa chambre.
Stanley souffrait. Encore plus que les autres fois où son père l'avait écrasé. La douleur était insupportable. Il avait l'impression que le moindre de ses os, de ses muscles, s'étirait dans tout les sens, comme devenus fous, et prêt à s'arracher de son pauvre corps.
Il resta au sol, à hurler à en cracher ses tripes, à se tordre de douleur, pendant ce qui lui parut une éternité.
Puis plus rien...

Lorsqu'il rouvrit les yeux, le soleil était déjà levé, et sur le point de se recoucher. Il n'était plus lui même. Ou plutôt... plus le même lui-même. Son corps avait changé, énormément changé... et Stanley ne s'était pas encore remit de cette douloureuse évolution.
Fou de rage, Zola se releva. 
Il sortit de sa chambre, et ce soir-là, s'il y avait eu des voisins, ils auraient put entendre pour la première fois Monsieur et Madame Hodgkin hurler à l'unisson et pour la même raison... La douleur. /FATALITY/

#033 Nidorino   I s   t h i s   t h e   r e a l   l i f e   ?   I s   t h i s   j u s t   f a n t a s y   ?  
Une fois libéré de ses encombrantes chaines, Stanley, tout fraîchement évolué en Nidorino et ayant déjà tristement presque atteint sa taille adulte à 8 ans, paraissant donc 10 ans de plus qu'il ne l'était, s'enfuit à Carmin-sur-Mer. Il devait quitter Kanto. Ses mains étaient sales et il n'avait plus rien qui le rattachait à cette région. Autant aller mourir ailleurs...
Il traîna un certain temps dans les rues, avant de s'embarquer clandestinement sur un bateau en direction d'une région lointaine. Et c'est ainsi qu'il arriva à Unys. 
Il n'avait pas un sous, et ne connaissait personne. Les gens ici ne parlaient, semblait-il, même pas la même langue... quelle galère.
Mais peut-être que finalement, le ciel n'en voulait pas tant que ça au jeune Nidorino ? La chance finit, enfin, par lui sourire. Au détour d'une rue, il fit la connaissance d'un homme avec un curieux accent. Il était vraiment bizarre, mais avait le cœur sur la main... Cet homme avait une particularité; il jouait de la guitare folk, et il était bon. Très bon. Il finit par prendre Stanley sous son aile, lui apprenant la langue de la région, la guitare, et l'aidant à prendre ses marques, se nourrir, etc. Il était tout autant dans la galère que lui, et pourtant, il était toujours très généreux. Tellement généreux, qu'il finit par offrir sa guitare au Nidorino.
Stanley lui était reconnaissant, et souhaitait lui renvoyer l'ascenseur dès que possible.

Armé de sa précieuse guitare, Stanley fit la même chose que des tas de jeunes à Unys; tenter désespéramment de se faire remarquer, pour se faire un peu d'argent et sortir de la rue.
Un jour, il tomba par hasard sur un bar, qui permettait à de jeunes artistes de jouer devant ses clients. Il y avait justement deux jeunes qui s'y produisaient à ce moment là. Un homme et une femme. Un guitariste, et une chanteuse. Si le guitariste passait complètement inaperçu aux yeux du Nidorino, la chanteuse elle, captiva son attention. Tout chez elle était magnifique.
Alors qu'il pensait ne jamais la revoir, elle vint d'elle-même lui parler pendant sa "pause cigarette tout à fait légale", alors que lui jouait dans la rue où se trouvait le bar. En l'entendant parler, Zola réalisa qu'elle était un peu bête, mais débordait de douceur et de gentillesse. Elle s’appelait Gabrielle, c'était une jeune carabaffe, et le nidorino en tomba fou amoureux.

Gabrielle lui présenta son guitariste, un hypnomade du nom de Lilian, à qui elle força la main pour qu'il apprenne à Stanley tout ce qu'il y avait à savoir sur la musique, et surtout, sur la guitare électrique. La jeune femme était persuadée que Stanley était ce qu'il manquait à son "petit groupe" pour fonctionner. Et, bien que ça arrachait le cœur à Lilian de l'avouer, pour une fois, la cruche avait raison. Curieusement, avec Zola à leur coté, ils parvinrent à rassembler un certain public, et à se produire dans des bars, des restaurants, et des salles de plus en plus grande...

Dès qu'il eu un certain montant d'argent de coté, Zola retrouva son camarade de rue, et lui donna tout ce qu'il avait.
Il se fit sérieusement remonté les bretelles par Lilian, mais il n'en avait que faire. Au moins, il avait remboursé sa dette, et de toute manière, il ferait gagner au groupe le triple de ce qu'il venait de perdre.

C'était le début d'une brillante carrière. Et pourtant...

#033 Nidorino   S o   y o u   t h i n k   y o u   c a n   l o v e   m e   a n d   l e a v e   m e   t o   d i e 
A première vue, tout se passait bien pour Stanley. Il voyait en Lilian un véritable ami, qui était toujours là pour le sortir des mauvaises passes, et avait réussi à se déclarer à Gabrielle, qui avait accepté ses sentiments. Mais Zola ne le voyait pas du même œil... 
Il avait remarqué que le comportement amical de Lilian était très suspect. En effet, si Stanley n'en a aucun souvenir car sa conscience était endormie, Zola s'est plusieurs fois retrouvé tiré de force aux commandes de son corps par hypnose. Très sensible au type psy, Zola est vite devenu le chien préféré de Lilian, sous le nez de Stanley, sans que celui-ci ne puisse réaliser quoi que ce soit... Il se retrouvait souvent mêlé aux embrouilles du hypnomade, qui l'utilisait pour se salir les mains à sa place. Et puis, il était étrangement proche de Gabrielle... 
Zola a bien tenté de mettre Stanley au courant, mais il ne voulait rien entendre. 

Plus la situation durait, et plus Stanley était en conflit avec lui même. Il avait finit par se rendre compte qu'il avait des moments d'absence fréquents, et que pendant ces pertes de conscience, des gens étaient blessés, et il avait même retrouvé un revolver dans sa chambre d'hôtel. Naturellement, il mit cela sur le dos de Zola, qui devait profiter de sa faiblesse pour prendre sa place et se défouler sur de pauvres gens, parce que Stanley refusait de croire à ses avertissements. Fatigué par cette situation, Stanley enferma Zola dans un coin de sa tête, et ne lui adressa plus la parole. Débarrasser de son coté rude et colérique, Stanley avait pourtant toujours des moments d'absence. Et Zola, depuis le fond de sa cage, ne pouvait que constater que Stanley était désormais à la merci de Lilian. Il pouvait voir tout ce qui échappait au regard naïf de Stanley. Les manières et les gestes déplacés de Lilian envers lui, et le fait évident que Gabrielle le trompait.

Stanley ne se rendit compte de rien. Jusqu'au jour où Lilian abusa de lui. Il était faible, incapable de se défendre à cause des yeux du hypnomade.
Brisé, et ne sachant où aller, Stanley tourna en rond très longtemps dehors, avant de finalement tenter de se réfugier chez Gabrielle... et de découvrir la dure vérité. Zola disait vrai. Gabrielle le trompait avec Lilian, son bourreau.

Anéantit, Stanley retourna dans sa chambre d’hôtel, et, malgré les hurlements de Zola qui voulait l'en empêcher, tenta de mettre fin à ses jours en se tirant une balle dans le crâne.

Zola se releva, couvert de sang, mais en vie. Mais depuis ce jour, il n'a plus jamais entendu la voix de Stanley...

Il était perdu sans lui. Il se sentait abandonné, et incapable de raisonner. La seule chose qui lui brûlait obsessionnellement l'intérieur de la tête, c'est l'idée de se venger de celui qui lui avait tout prit. Gabrielle, Stanley, et sa dignité.

Ce qu'il fit.

Il se rendit chez Lilian, et le fit payer de sa vie.

Gabrielle fut témoin du meurtre. Elle voulu dénoncer Zola, mais il avait trop bien couvert ses traces, et avec son jeu d'acteur implacable, personne ne la cru. Le regard que le Nidorino lui lança à cet instant, la rendit muette... Terrorisé, elle quitta la région, et Zola ne la revit plus jamais.    

#033 Nidorino   I   s e e   a   l i t t l e   s i l h o u e t t e   o f   a   m a n   (   d é b l o q u é   p a r   H a r u   )

#033 Nidorino   N o   e s c a p e   f r o m   r e a l i t y   (   à   d é b l o q u e r   )

#033 Nidorino   C a r r y   o n ,   c a r r y   o n   a s   i f   n o t h i n g   r e a l l y   m a t t e r s 
Zola est arrivé à Illumis après avoir reçu un coup de téléphone de Sensui, son vieil ami, muté à Illumis peu de temps avant. Apparemment, il avait besoin de faire construire un nouvel hôpital, et de quelqu'un pour le reprendre. Très intéressé, Zola a tout laissé à Johto -offrant sa villa à Hilda, sa compagne du moment, et sa fille Juliet- et s'est envolé pour Illumis. Il a prit en charge la construction de la clinique, puis a prit sa place dans ce nouveau bâtiment. 
Dès son arrivé, Zola a rencontré des gens... plus ou moins intéressants. De tout ces gens, il ne s'est lié d'amitié qu'avec deux d'entre eux. Silver, un petit gars qui avait peur de lui, et Damon, son ami amateur de poison. 

Puis le temps passa, et il commença à employer quelques médecins à la clinique. Une psychologue, deux infirmiers, un autre médecin... la clinique était un peu moins vide grâce à eux. Zola se lia rapidement d'amitié avec Haru, son infirmier, rapidement recruté comme bras droit et larbin pour faire ses papiers, et pour qui il nourrissait un interêt... certain, sans vraiment osé se l'avouer. Jusque là, tout ce passait plutôt bien... mais le nidorino a finit par avoir le malheur de s’intéresser à un autre de ses employés d'un peu trop près. Au début, il s'en fascinait juste comme de tas d'autres choses auparavant. Il avait juste jeté son intérêt et sa curiosité sur lui. Mais... il a malheureusement finit par s'y attacher, l'autre médecin répondant à ses avances. Jusqu'à en tomber bêtement amoureux. Là a commencé un véritable enfer... l'amour ne le rendait pas aveugle, et il aurait préféré. Noyé dans des mensonges, et tentant de surmonté le coma de Sensui, qu'il a découvert être son fils, et sa récente évolution, Zola s'est raccroché à ses sentiments, ne voulant pas voir que son petit-ami le trompait à droite et à gauche, et surtout avec l'un de ses meilleurs amis... jusqu'au jour où cet homme, qui ne l'avait jamais aimé, le rejeta.

#034 Nidoking   S a v e   m e
De nouveau seul, et le cœur brisé, le Nidoking a sombré dans une profonde dépression. Oubliant tout les progrès comportementaux qu'il avait fait ces dernières années, il était redevenu cet homme froid et distant, qui ne disait rien et se contentait de regarder les gens de travers ou avec un faux sourire. Toute cette colère et toute cette tristesse l'ont poussé à vouloir mettre fin à ses jours... encore une fois, sans succès. Il s'en tira avec une très vilaine cicatrice... C'était injuste. Après tout, pourquoi est-ce qu'il devait mourir lui, alors que c'était ce monstre qui lui avait fait si mal ? Très vite, il a développé une haine sans nom pour son ex, nourrie un peu plus tout les jours par tout ce qu'il apprenait à propos de ses actes... tout ces affronts, sous son nez... quelle humiliation.
Et puis... finalement, Zola releva la tête de sa dépression. Il avait revu Haru, qui lui tendit la main pour tenter de le sortir de l'obscurité. Très touché par son geste, le médecin a voulu en faire de même pour son ami, qui souffrait du même mal que lui. Il invita donc Haru à venir s'installer chez lui, quittant ainsi lui aussi ce monstre... Ni l'un ni l'autre ne s'attendait à ce que leur relation prenne une telle tournure...

Zola est tombé fou amoureux d'Haru, cet ami qui était si gentil et si attentionné avec lui... et, après une déclaration un peu spéciale, Haru finit par retourner ses sentiments.
Aujourd'hui, le nidoking est surement plus heureux qu'il ne l'a jamais été. Il s'est rapproché de son ami Silver, s'est trouvé une nouvelle amie, Cornélia, et vit avec Haru depuis trois mois. Franchissant tout les obstacles qui tentent de se dresser sur leur route, le récent coma d'Haru lui ayant fait réaliser l'importance qu'avait prit le absol dans sa vie, Zola fais de son mieux pour rendre son petit-ami aussi heureux qu'il l'est. ♥




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Comments30
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Red--Queen's avatar
... Il est super mignon en fait--