+ES21+ Naoya Louise Voisin

This poor thing was waiting since YEARS to have her profile. What's amazing is that her profile (in french, sorry) is ready since years. I just haven't finished any fullbody ref of her...
Talking about it with friends these days made me move my lazy ass, I just flat colored an old one. Artblock you bitch.
ANYWAYS enjoy the return of my transvestite bby ♥

EDIT: Psst, cutie face has his own icon now. Thanks to GueparddeFeu ♥

 Identité:

 Nom: Voisin.
Les japonais l’appellent peu par son nom, étant donné qu’il est assez chiant à prononcer et sonne mal. Ils font parfois des blagues avec le mot japonais équivalent, « tonari », notamment avec le film « Mon Voisin Totoro ».
 Prénom: Naoya (直也).
Son deuxième prénom est Louise, mais personne n’y fait vraiment attention.
 Taille: 1m79 | 75kg
 Âge: 17 ans au début de la série.
 Situation: Célibataire | Amoureuse de Hiruma Yoichi
 Ecole: Lycée Deimon | 2ème année
Elle rejoindra plus tard l'université Saikyoudai.
 Seiyuu: SAIGA Mitsuki

 Role & Stats:

 Equipe: Deimon Devil Bats.
Elle rejoindra les Saikyoudai Wizards une fois à l'université.
 Numéro: 57.
Elle porte parfois le dosard 27 selon les stratégies prévues par leur quaterback démoniaque.
 Surnom: Impreza. 
Elle tient se surnom de sa façon de se déplacer sur le terrain et de sa voiture préférée.
 Poste offensif: Fullback | Offensive Tackle

 Elle est la protection directe du Halfback (running back principal) en cas de jeu de course. Elle court devant lui et lui sert de bouclier pour bloquer tout joueur qui tenterait de stopper sa course. Sa spécialité est de créer l’illusion qu’elle est Eyeshield 21 pour bloquer les adversaires les plus dangereux pour le running back (Shin, par exemple…).
Elle n’est pas toujours présente dans l’alignement  de départ d’une action de jeu, afin de laisser la place à un receveur.
Elle peut aussi le remplacer en portant le ballon jusqu’à la zone d’embut pour gagner du terrain dans le cas où le running back est neutralisé.
 Plus mobile qu’un Offensive Guard, elle est chargée de protéger le Quaterback en bloquant les Linebacker en cas de Sack. Elle assure, avec les autres membres de la ligne offensive, de créer des ouvertures pour les running back. Elle se place à droite de la ligne lorsqu’elle doit décrocher pour couvrir la course du running back et du côté gauche lorsqu’elle doit couvrir l’angle mort du Quaterback ou empêcher une avancée vers le porteur de balle.

 Poste défensif: Outside Linebacker

 Elle a pour rôle de stopper le running back adverse en cas de jeu de course, ou d’effectuer un sack sur le Quaterback adverse en contournant la ligne de défense grâce à sa vitesse pour stopper le down.

 Puissance:

★★★★★ | Derrière ses airs de gentils garçon, Naoya est une grosse brute.

 Intelligence:

★☆☆☆☆ | Elle ne réfléchit pas, elle exécute les ordres.

 Technique:

★★★★☆ | A force de s’entraîner, la technique de Naoya sur la pelouse est presque irréprochable.

 Vitesse:

★★☆☆☆ | Naoya n'est pas très rapide... elle est meilleure en endurance.

 Record au poids: 160kg
 Record aux 40 yards: 5,5 secondes.

 Histoire:

 Il était une fois... 

Naoya est née d’un père français militaire et d’une mère japonaise, simple employée de bureau. Leur rencontre n’avait rien d’exceptionnelle et Basil n’a jamais souhaité en parler à sa fille.
Bien qu’ils fussent très jeunes, ils décidèrent de s’installer ensemble. Ils ne souhaitèrent pas se marier mais ils eurent un enfant. Une petite fille aux yeux d’ambre, présentant déjà de très bonnes aptitudes physiques, comme son père et aux cheveux bruns, comme sa mère.
La petite famille vécue heureuse jusqu’au jour où la mère quitta le foyer pour rejoindre un autre homme. Comme elle était trop jeune et que la séparation fut brutale, elle ne se souvient presque plus de l’enfant avec qui elle jouait étant enfant, son jeune frère du nom de Kamiya Taiga, le futur capitaine des Misaki Wolves.

 Comme un homme... 

Naoya et son père repartirent vivre en France. La petite fille, traumatisée par la séparation de ses parents et ne vivant plus qu’avec « l’homme de sa vie » qu’elle prenait comme modèle, se retrouva à tirer un trait sur sa féminité. Ne sachant trop quoi faire, son père la conforta dans son idée et l’éleva comme un garçon.  Elle se teint les cheveux en blond pour ressembler à son paternel et suivit le même entrainement que lui lorsqu’il était à l’armée. Elle fut baignée dans les histoires de guerres, les notions d’armement et les intérêts masculins en tout genre. De même, profitant de son absence de puberté –surement dut à ses gênes asiatiques-, elle put se faire passer très facilement pour un garçon aux yeux du monde. Elle coupait ses cheveux très courts et s’habillait avec des vêtements d’homme.

 C'est ca, des amis ?

Au printemps de son année de 4ème, elle accompagna son père en déplacement au Japon. Elle fut inscrite pour une période indéfinie au collège Mao, où elle recommença sa 4ème année, de manière à ne pas décrocher des études durant la mission de son père. Son intégration au Japon fut difficile, les cours l’ennuyait, elle avait l’impression de perdre un an de plus pour rien et elle avait du mal à s’intégrer à sa classe. Outre les filles attirées par son physique « musclé et viril mais androgyne donc mignon» qui multipliaient les déclarations enflammées –enfin, aussi enflammée que peut l’être une japonaise- peu de gens lui adressaient la parole. Il faut dire qu’elle était « étrangère » et que d’elle-même, elle n’était pas bavarde et n’avait pas tendance à aller vers les gens. Le problème était surement là…
Mais il y avait dans sa classe trois étonnants personnages qui avaient d’ores et déjà attiré son attention. Le premier, le plus difficile à manquer, était fortement enrobé. Sa tête ressemblait à une grosse châtaigne, comme celles qu’elle dégustait au coin du feu avec son père lors des soirées d’Hiver. Malgré son physique pour le moins étrange, le garçon semblait d’une gentillesse, d’une maladresse et d’une émotivité débordante, ce qui le rendait fort attachant.
Le second, plutôt grand pour la moyenne des japonais, était musclé et arborait le plus souvent une expression dure et détachée mais parfois chaleureuse. Son physique laissait croire à un garçon endurcit par le travail physique. En effet, il travaillait dans l’entreprise de son père à côté des cours. Il avait l’air sympathique, bien qu’un peu à côté de la plaque.
Le dernier était de loin le plus étrange. Il avait une réputation démoniaque qui le suivait apparemment depuis le début de sa scolarité. Il serait le diable en personne, le plus sournois, le plus diabolique et le plus manipulateur des collégiens de l’histoire. Les japonais ont vraiment cette fâcheuse tendance à tout exagérer... Mais il est vrai qu’avec ses oreilles pointues percées de petits anneaux d’argent, ses cheveux blonds dressés sur sa tête tels les flammes de l’enfer, son sourire maléfique décorés par ses dents dangereusement aiguisés et ses yeux en amandes au regard perçant… le tout accentué par ce resplendissant fusil M4 posé avec dédain sur son épaule ; il avait tout d’un démon en effet. Et vu son manque de discipline, ce n’était surement pas le fils d’un militaire.
La première fois qu’elle les vit, elle ne se doutait pas que Ryokan Kurita la châtaigne, Gen Takekura le ténébreux et Yoichi Hiruma le démon deviendraient ses meilleurs amis. Ou plutôt, ces seuls vrais amis. Ces trois garçons avaient l’idée folle de fonder une équipe de football américain et de rentrer dans un grand lycée, pour atteindre les championnats nationaux. Peu emballée mais touchée malgré elle par leur rêve, elle décida de les aider du mieux qu’elle le pouvait dans leurs entrainements, tout en continuant de refuser les nombreuses et variées tentatives de recrutement d’Hiruma, qui ne semblait pas manquer d’imagination quand il s’agissait d’harceler les gens. Le fourbe surgissait toujours d’endroits complètement improbables, avec toujours quelque chose de nouveau pour la faire chanter. Heureusement, il ne trouvait pas grand-chose à se mettre sous la dent, vu qu’elle n’avait rien ramené de vraiment personnel au Japon. Une fois, elle avait retrouvé le garçon carrément dans son casier… Il espérait surement y découvrir quelque chose. Il parait que les japonais décorent leur casier avec des affaires personnelles.
Et malheureusement, après cette folle année, le jour tant redouté arriva. La mission de son père était terminée et elle dut quitter ses trois amis pour rentrer en France presque précipitamment. Elle n’avait pas eu le temps de leur dire au revoir comme elle l’aurait voulu et elle le regrettait.

 Je suis de retour !

La tristesse de Naoya toucha profondément son père, qui décida de quitter l’armée pour retourner vivre au Japon avec sa fille. Il lui fallut environ 3 ans pour pouvoir obtenir cette autorisation, ainsi qu’une licence pour pouvoir gérer un magasin d’airsoft et d’armes, faisant également office de surplus militaire, au Japon. Durant ces 3 ans, Naoya entra dans une école militaire, continuant ainsi ses études tout en effectuant son service à la nation.
Après ces 3 ans, Naoya et son père retournèrent s’installer au Japon, au-dessus de la boutique d’armes que tenait maintenant son père. Elle s’inscrit au lycée Deimon, pour continuer plus ou moins sagement sa scolarité. Elle ne savait pas ce qu’étaient devenus ses trois amis et ne pensait pas se retrouver de nouveau dans la même école et la même classe qu’eux.
Les retrouvailles furent assez soudaines. Le petit rituel habituel du nouvel élève, elle avait l’habitude, mais l’accueil avait été ce coup-ci assez différent. Elle était encore dans le bâtiment administratif et n’avait pas encore rejoint sa classe, qu’une grosse châtaigne lui tomba brutalement dessus. La cage thoracique écrasée contre Kurita qui la noyait de larmes, elle put distinguer la silhouette lointaine d’Hiruma qui repartait en ricanant, assez fier de son geste. Rien ne lui échappait, à celui-là.
Et à partir de ce jour recommença le harcèlement intensif. Il semblerait qu’ils n’aient toujours pas abandonné leur histoire de Foot US…

 Personnalité:

Bien qu’elle n’ait pas toujours été comme ça, Naoya est, depuis son retour au Japon, une jeune femme plutôt timide, de sang-froid, assez calme mais qui n’hésite pas à se démener pour se rendre utile et aller vers les gens lorsqu’ils en ont besoin.  Elle est plutôt souriante et joyeuse, mais n’est pas très à l’aise avec les filles, surtout celles qui lui glissent des lettres d’amour dans son casier, ce qui la met dans un embarras presque inégalable. Elle est disciplinée envers la hiérarchie, obéissante et ne sait pas dire non. Ce qui fait d’elle l’une des victimes préférée d’Hiruma. Elle a pourtant horreur d’être contrariée mais son côté tolérant et souple l’empêche de s’énerver, même si son service militaire lui a montré comment se faire respecter.  
Le peu de fois où elle s’énerve, Naoya ne sait plus modérer sa force et perds son sang-froid. Son physique puissant devient alors dangereux pour les personnes environnantes. Elle est tellement dure à énerver qu’Hiruma lui-même n’a pas encore réussi. Les seules réactions qu’il obtient en retour de ses nombreuses tentatives de harcèlement pour l’instant, ce sont des réactions agacées : soufflements, regards en biais, semblant de cris, menaces… Mais jamais de débordements. Elle lui a couru après, quelques fois. Mais à chaque fois que le japonais s’essoufflait, elle trouvait toujours une excuse pour le laisser filer.
Sa discipline la rend très assidue aux entrainements. Elle fait cependant toujours un détour avant d’arriver aux entrainements, afin de se changer en différé par rapport aux autres. Ce qui la fait passer pour un retardataire auprès de l’équipe, chose que Monta ne se prive pas de souligner chaque jour.
A part Hiruma et Musashi, aucun des autres membres de l’équipe n’est au courant du secret de Naoya. Certains le découvriront pourtant au fil du temps, souvent à cause d’Hiruma d’ailleurs.

 Particularités:

 Inconsciemment, Naoya a un instinct assez protecteur avec les plus jeunes garçons de l’équipe –dû au manque de son petit frère. Ou du moins, les plus fragiles, comme Sena. Car elle ne se gêne pas pour botter le cul –amicalement- aux Ah-Ah-Sankyodai, pour les discipliner.

 Elle marche toujours au régime militaire. Sa journée entière est chronométrée. Elle met toujours le même temps pour manger, se trouve toujours quasiment au même endroit au même moment d’un jour à l’autre. Il est donc assez facile de savoir où elle est et quand elle va arriver, une fois que l’on a compris son planning. Elle a même prévue quelques créneaux « Hiruma » dans ses journées.

 Egalement, on lui a appris à ne pas se plaindre. Chose qu’elle exécute avec brio. La seule chose qui peut la faire un tant soit peu râler, c’est l’agacement et l’embarras. A cause des filles qui lui tourne autour ou du traitement que lui inflige Hiruma, qui revient toujours même quand elle le remet à sa place.
Elle ne se plaint donc jamais de la douleur ou des problèmes physiques qu’elle peut rencontrer. Elle endure et encaisse, se redressant après le choc, comme on le lui a appris. Ce qui la rend assez imprudente sur le terrain.

 Naoya n’est pas spécialement douée à l’école. Elle rêverait d’être exemplaire dans toute les matières, hors c’est loin d’être le cas. Il faut dire qu’entre le garage et l’équipe, elle ne se penche pas plus que ça sur les études à proprement parler. Mais elle a jusque-là réussit à sauver les meubles, si on veut.

 Elle parle très peu d’elle, de son passé ou de ce qu’elle fait en dehors des cours. Ce qui fait d’elle une source d’intrigue pour ses coéquipiers, qui profiteront parfois de leurs moments de libre pour mener des -souvent vaines- filatures afin d’en apprendre plus sur elle, Hiruma ayant de son côté des techniques plus personnelles pour s’informer. Il n’est pas rare de le croiser au magasin d’armes tenues par le père de Naoya ou de le surprendre en train de squatter à la maison pour le repas du soir.

 Naoya ne parle pas si bien japonais que ça.  Si son accent français s’estompe avec le temps, il lui arrive toujours de se tromper de signification en lisant certains kanji ou en entendant certains mots. Une bonne source de rigolade pour ses camarades, qui ne se gêne pas pour la perturber en utilisant des mots un peu différents.
De même, il lui arrive de parler en français lorsqu’elle réfléchit. Elle a aussi gardé l’habitude de saluer ses amis en français, langue qu’elle parle toujours avec son père.

 Elle est passionnée d’automobile. Lors de son séjour au Japon pour son année de 4ème, elle a rencontré un ancien champion de course automobile -ayant perdu sa jambe gauche après un accident de parcourt lors de sa dernière course professionnelle, ce qui a mis fin à sa carrière-, fils du propriétaire d’un garage automobile à quelques minutes de chez elle. Cet homme, voyant l’intérêt criant du garçon (qu’il n’imaginait pas être une femme) pour les voitures, lui appris à conduire, comme son père l’avait fait avec lui.
Lorsqu’elle se réinstalle au Japon 3 ans plus tard, l’ex-champion, devenu second gérant du garage automobile, la reprit comme élève et la fit participer à une course, qu’elle gagna d’ailleurs. En même temps, avec un ex-champion comme co-pilote…
Elle a était reconnu comme l’un des plus jeune talent automobile mais n’a plus couru depuis… du moins pas officiellement.
Naoya va régulièrement aider son mentor dans son travail, ce qui lui permet de mettre de côté un peu d’argent en plus, pour acquérir et tuner sa propre voiture.
Cette passion pour l’automobile à créer sa particularité de jeu au Football Américain. Son jeu est comparable à la course d’une voiture. D’où son pseudo de joueur tiré de sa voiture préférée, la Subaru Impreza WRX Sti. Hiruma exploite d’ailleurs ses capacités, en la faisant conduire en tout illégalité quand l’envie lui prend.
Sa conduite ne reflète absolument pas sa personnalité. Même si elle maitrise complètement sa voiture, elle est une grande amatrice de drift et elle ne respecte aucune limitation de vitesse. Ce qui a tendance à traumatiser ses passagers...

 Naoya ne tient pas l’alcool. Pas du tout. La moindre goutte d’alcool lui fait tourner la tête, et elle a… l’alcool particulièrement mauvais.

 Elle entretient une relation non-intentionnelle de « Camarade de Footing » avec Shin Seijuro, le Linebacker d’Ojou, qui deviendra par la suite son rival non-intentionnel, étant donné qu’il occupe la même position qu’elle sur le terrain, est à peu près de même corpulence, mais est plus doué qu’elle. Elle a beau le battre au record de poids, il la dépasse largement en vitesse de pointe.

 Naoya aime beaucoup la musique, mais plus particulièrement la musique classique ou les chansons des années 60 à 90. Tout ce qui est plus récent lui est relativement inconnu et elle n’apprécie pas trop les musiques qu’elle juge « agressives » (screamo, death metal, rap, etc). Elle a pourtant un petit faible pour l’Eurobeat, style qu’écoute son mentor au garage et qui tourne désormais en boucle dans sa voiture.

 Elle adore tout ce qui est mignon. Face à une peluche ou à un animal, son visage s’adoucit et son regard s’attendrit. Pourtant, elle n’a pas l’air plus féminine que ça dans ces situations et à plutôt l’air d’un gentil garçon. La première fois qu’elle a vu Cerberos, elle a fondue intérieurement (ce qui laisse des doutes sur sa vision du « mignon ») et a essayé de le caresser. Elle s’est bien entendu fait mordre mais continue d’aller le caresser sans trop se soucier des plaies sur ses mains.

 Naoya partage les tâches ménagères avec son père et fait donc le repas une fois sur deux. Pourtant, malgré ses talents culinaires, elle a horreur de cuisiner. Elle est pourtant bien obligée de préparer son Bento du midi tous les matins...

 Elle est droguée au café et peut faire des crises relativement violentes quand la caféine vient à lui manquer.

 Naoya n’est pas vraiment pudique. Pas du torse en tout cas. Il lui arrive de se balader sans t-shirt mais elle préfère éviter en présence de trop de monde pour éviter que quelque ne se rende compte de quelque chose. C’est pour cette raison qu’elle va à la plage avec un t-shirt, par exemple. Et gare à celui qui tentera de lui faire le coup du « je fais claquer l’élastique de ton short de bain ».